
Enseignement technique et professionelle: La DEEP dresse le bilan 2024-2025 à Yamoussoukro
L’atelier bilan, des activités d’encadrement des établissements privés (DEEP), à été lancé, lundi 15 septembre 2025, dans un complexe de Yamoussoukro. Durant cinq (5 )jours , les participants aux travaux , auront à cœur de réaliser le bilan des activités de la DEEP et de définir les perspectives pour l’année de formation 2025-2026.

” Bilan et perspectives des activités de la direction de encadrement des établissements privés” ; C’est le thème autour duquel , se déroule les assises de la capitale politique.Faire des propositions en vue d’améliorer l’encadrement des établissements privés ; définir un mécanisme pour la pérennisation du contrôle biométrique après le retrait du PAGDS ; en tenant compte de l’évolution de la carte scolaire des établissements privés ; sont autant de problématiques, qui seront abordées au cours dudit atelier.
Repenser et revaloriser l’enseignement technique, la formation professionnelle et de l’apprentissage, pour soutenir, le développement socio-économique et contribuer à l’émergence rapide de la Côte d’ivoire , s’inscrit dans la droite ligne, de la vision du ministre de l’enseignement technique, de la formation professionnelle et de l’apprentissage, à d’entrée signifié d’entrée, la Directrice de l’encadrement des établissements privés (DEEP), Mme Kouamé Huguette, à l’ouverture des travaux. En définissant les missions qui sont dévolues à la DEEP, l’oratrice du jour, à la tribune, a fait savoir ceci: ” La DEEP veille , au suivi et à la gestion administrative des établissements privés, à l’organisation de la délivrance des autorisations de créations et d’ouverture d’établissements privés, d’enseignement technique et de formation professionnelle”.

Outre, les missions assignées plus haut , s’ajoutent celles de l’élaboration des états de paiement , en liaison avec la direction des affaires financières du ministère de tutelle et à fermeture des établissements scolaires, ne respectant pas les critères fonctionnement. Prenant à son tour la parole, le Directeur général de la formation initiale, Almamy Cissé, a montré dans son adresse, le rôle prépondérant que jouent, les établissements privés dans la gestion de la chose éducative.
” Avec 461 établissements actifs, face aux 68 du secteur public, elles sont le véritable moteur du numérique” a-t-il indiqué. En passant en revue, le bilan chiffré, en terme d’activités menées au cours de l’année écoulée, Almamy Cissé déclaré ceci : ” Au titre de l’année scolaire 2024-2025 , les écoles privées, techniques ont formé, 88.381 apprenants . Soit une écrasante majorité de 62, 73 % sur un total de 140.295 apprenants de notre ordre d’enseignement. Cette force vive est un atout inestimable pour notre pays” , a-t-il révélé.

Concernant le baccalauréat technique, le représentant du directeur de cabinet du ministre de l’enseignement technique et de la formation professionnelle, a laissé entendre que, les écoles privées, accueillent le plus gros de leur effectif. Avec un taux de 43,76% enregistré. Un chiffre qui contraste avec les 86% du secteur public. Ramenant le taux général à 44, 70 % , avant de conclure par un appel à l’action.

” Au regard de chaque pourcentage, se cache un destin. C’est un miroir, dans lequel nous devons regarder. Il y a des opportunités à saisir, pour nous améliorer. “, a-t-il souligné. Pour le coordonnateur adjoint du PAGDS, Akrou Bertin , l’enseignement technique donne le pouvoir aux jeunes apprenants, de s’en sortir dans la vie active : ” Lorsque que les jeunes sortent, après leur formation, ils ne chôment pas. Ils sont insérés dans des entreprises ou travaillent à leurs propres comptes. Nous devons faire ensemble chemin et miser sur les valeurs et la technicité de nos jeunes gens”, a t-il fait cas.
Joseph kouakou































