
Présidentielle 2025 en Côte d’Ivoire : Don Mello a le meilleur programme selon Lamoussa Djinko
Lemandatexpress – À quelques heures du terme de la campagne électorale pour la présidentielle 2025 en Côte d’Ivoire, Lamoussa Djinko affiche une réelle confiance. Le directeur national de campagne d’Ahoua Don Mello estime que son candidat a le meilleur programme de société.
Recalé par le Conseil constitutionnel comme bien d’autres prétendants au scrutin présidentiel, Lamoussa Djinko est sur le terrain de la campagne électorale. Le président du Renouveau démocratique a pris fait et cause pour Ahoua Don Mello. Il assure la direction nationale de campagne du candidat indépendant.
À la lumière de sa dernière déclaration, Lamoussa Djinko ne regrette pas son choix. Il croit fermement aux chances de son champion. « Comme vous l’avez constaté lors de sa sortie télévisée Face aux électeurs, il nous a instruits sur son modèle économique, s’il est élu. Après ce passage, nous avons reçu un retour positif. Nous avons le meilleur programme », s’est-il convaincu dans les colonnes de Fraternité Matin.
Aussi, à quelques jours de l’election présidentielle, M. Djinko dresse un bilan positif du travail de la team ADM sur le terrain. « Nous sommes une nouvelle génération, avec un modèle économique différent, précise-t-il. Partout où nous sommes passés, nous avons expliqué comment nous allons accélérer le développement du pays, si Dieu nous accorde la victoire. »
De fait, dans son occupation de terrain, l’équipe de campagne du candidat Ahoua Don Mello a ciblé des villes pour son candidat, rappelle Lamoussa Djinko, en raison, dit-il, du temps relativement court de la campagne (deux semaines).
Par ailleurs, il affirme avoir proposé à la CEI une confrontation entre les cinq candidats. Mais que cette dernière les a orientés vers la Haute Autorité de la Communication Audiovisuelle (HACA).
Toutefois, Ahoua Don Mello a eu des tribunes, notamment face au Patronat, pour exposer sa vision axée sur le développement. Une vision souverainiste qui passe par la création d’un fonds souverain ou l’annulation de certains accords de coopération.
M. Galé































